Bonjour, L'idéal serait certainement d'aborder ce type de problème à partir de l'hypnose, mais à la seule condition de trouver le bon praticien qui saura diriger sa thérapie en toute connaissance des complexités psychologiques de l'être humain. L'hypnose profonde permet d'atteindre l'esprit, autrement dit tous les refoulements inconscients de la personne qui peuvent être en rapport avec la vie présente, voire avec une vie antérieure. Par ailleurs, c'est un travail qui nécessiterait une grande régularité, car il faut au préalable plusieurs séances pour arriver à l'état hypnotique adéquat, et ensuite plusieurs séances pour en arriver au fond du problème. Il faut donc à la fois un hypnotiseur opiniâtre et un patient qui ait la volonté d'aller jusqu'au bout. En ce qui concerne les hypnotiseurs de notre cercle, deux d'entre eux sont parvenus à résoudre un certain nombre de problèmes, mais concernant précisément la schizophrénie, je ne crois pas qu'ils aient encore abordé cette question, mais je dois vérifier cela auprès d'eux.
Les couleurs ont leurs influences vibratoires. Nous savons que les couleurs primaires ou fondamentales sont les plus positives et que par exemple le bleu a des vertus apaisantes. Sans doute la vibration d’une couleur peut-elle participer au mieux-être, comme par exemple la couleur choisie d’un intérieur de vie. De là à parler de guérison, cela me paraît peu probable. Des couleurs comme des matériaux peuvent avoir des vertus, et d’un point de vue vibratoire être propices à un meilleur équilibre fluidique en rapport avec le périsprit. Ensuite par répercussion un mieux-être pourra aider dans le cadre de soins et participer à une rémission ou guérison ; oui, très certainement, mais plutôt en tant qu’apport supplémentaire ou accompagnement à une autre thérapie adaptée à la maladie en question.
Bonjour, Il y aura évidemment de multiples causes possible à l'hyperactivité. Et pour les déterminer précisément sur un sujet, il faut déjà connaître son histoire familiale, voir également dans quel environnement scolaire ou social il s'est construit. Pour les cas que nous connaissons dans notre propre environnement, nous avons à peu près les éléments d'analyse parce que nous connaissons l'histoire de ces enfants. L'on peut avoir des critères comme le sentiment d'abandon lorsque les parents ont souvent été absents, le divorce ou la séparation des parents qui crée un déséquilibre affectif chez l'enfant, le manque d'une réelle éducation supplantée par de mauvaises fréquentations, etc. Et bien d'autres raisons encore pourraient être évoquées, des causes diverses inhérentes aux malaises de nos sociétés et que les enfants vivent ou ressentent. C'est alors que l'hyperactivité peut être là comme pour combler des vides, pour échapper à la réalité et ainsi s'étourdir dans un tourbillon de vie un peu vide de sens. Et en l'absence de sens dans une société qui s'étourdit elle-même, l'enfant qui n'a plus de points de repères stables, s'agite et fait beaucoup de bruit pour qu'on le considère, et c'est là souvent l'expression d'un besoin de reconnaissance inassouvi ou d'un problème affectif avec l'environnement proche. Je ne sais pas s'il faut qualifier l'hyperactivité de maladie, ou alors parlons plutôt d'une détresse, d'un déséquilibre affectif, d'une recherche de sens, voire d'une attente particulière de la part d'un enfant qui exprime son malaise de cette façon.
Bonjour Dominique, l'épilepsie a plusieurs causes, elle peut être d'origine physique ou d'origine spirituelle. L'épilepsie peut être le résultat d'un traumatisme vécu dans une vie antérieure, traumatisme véhiculé en cette vie présente. Au delà de la pharmacopée habituelle, la meilleure façon de la traiter serait l'hypnose à caractère régréssif afin de faire remonter le sujet à la source du problème. Il existe également une cause génétique à certaines formes d'épilepsie; à ce niveau l'action est plus difficile mais le magnétisme régulier peut diminuer la fréquence des crises. La perte de conscience est le résultat de la crise lorsqu'elle est importante, appelée alors "grand mal", car certaines fonctions cérébrales sont altérées, l'esprit cependant reste présent, un peu comme en état de coma provisoire. Avant cette perte de conscience, l'épileptique semble parfois saisi d'une grande frayeur, comme s'il voyait quelque chose d'effrayant; la crise étant suivie d'amnésie totale, il est quasiment impossible de faire relater et expliquer au sujet ce qu'il a pu percevoir. Très cordialement





